Nous ne pouvons vous aimer qu’à la distance que vous nous imposez

Si toi aussi tu t’interroges sur la façon dont va le Monde en ce moment, tu trouveras des éléments de réponses dans cet enseignement.

https://youtu.be/n6mglxBVYsk

22 avril 2021 – Connexion quotidienne

Souhaitez-vous délivrer un message totalement libre au monde ou à moi-même ? Quelque chose que vous souhaitez déposer aujourd’hui dans le visible ?

Nous sommes effrayés de votre obstination. Quoi qu’il vous soit envoyé pour vous éveiller, pour vous réveiller, vous continuez obstinément à garder les masques sur vos yeux, sur vos nez et vos bouches.

Ils étouffent le souffle vital. Ils éloignent les lueurs de la vérité. Ils augmentent votre confusion et vos résistances. Ils augmentent votre obstination à vous tenir dans l’agitation. Ils vous éloignent de ces temps de repos et de silence que nous ne savons plus comment vous suggérer, vers lesquels nous ne savons plus comment faire pour vous diriger.

Nous sommes démunis, impuissants, car sans vous nous ne pouvons rien, sans votre main qui se glisse dans la nôtre tendue, comment vous tirer des flots, comment vous préserver de la noyade ?

Nous sommes condamnés à vous regarder vous jeter dans la gueule du loup, vous précipiter sur les rochers en plein cœur de la tempête, sortir du port vers les flots agités, quand il faudrait jeter l’ancre et rester à quai.

Vous n’avez qu’une seule obsession, retrouver votre liberté d’expression pour aller la pervertir, la gaspiller, dans des actions stériles, alors que tout ce temps vous a été offert, désespérément, avec une grande patience, comme jamais aucun précédent ne vous a permis de le faire.

Que vous êtes égarés, et que Nous sommes affligés. Nous nous tenons toujours à proximité. Nous essayons d’attirer votre attention. Nous faisons preuve d’une grande compréhension. Nous ne quittons pas le navire. Nous restons près de lui pour être accessibles à chacun de vous qui comprendra, qui s’éloignera du tumulte et du fracas des flots sur les rochers.

A chacun de ceux-là, Nous offrirons asile, terre, refuge. Et pour les autres, Nous ne pourrons plus rien, car plus que tout votre libre-arbitre est votre meilleur guide, votre plus grand enseignement, et face à lui Nous devons nous incliner, faute de quoi vous vous éloigneriez de ce qui est le plus important à l’échelle de chacune de vos vies.

Allez en Paix. Nous ne pouvons que vous aimer à la distance que vous Nous imposez. Nos cœurs sont parfois effrayés et souvent en pleurs bien que Nous sachions que tout ce que vous choisissez est juste.

Nous avons tellement soif pour vous de douceur, de légèreté, quand Nous vous voyons vous précipiter vers la dureté. Tout ce courage inutile que vous déployez alors même que la facilité est votre héritage.

Pourquoi continuez-vous à la bouder, à la rejeter, à la diaboliser et à vous en méfier ? Comment avez-vous pu en arriver là ? Jamais ce ne sont nos voix, nos messages, qui vous ont suggéré une telle hérésie. Vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-mêmes et à votre obstination à mener vos barques sans tenir compte de nos messages.

A l’échelle de l’humanité, vous n’êtes encore que des adolescents obstinés dans leur toute puissance, prêts à tous les dangers, refusant d’écouter les voix de la sagesse. C’est l’histoire du Monde depuis qu’il est lui-même Monde.

Les vieux qui parlent dans le vide. Les jeunes qui refusent d’entendre, et au-fur-et-à-mesure que chacun de vous devient plus mature, alors vous revenez vers Nous et nos bras, et nos cœurs, sont toujours grands ouverts pour continuer ensemble ce chemin, cette aventure, de la Vie, la Vie dans l’Invisible, la Vie dans le visible, cette aventure parallèle qui pourtant ne fait qu’Une.

Nous cheminons à vos côtés, nos mains sont tendues, tant que vous ne le saisissez pas, entre nos mondes, entre nos Vies, un fossé nous sépare. Mais qui ne tarde pas à disparaître dès que des mains se rejoignent.

Le visible n’est qu’une facette de l’Invisible, et l’Invisible une facette du visible. Les 2 sont indissociables. Un jour vous vous en souviendrez.